jeudi 25 avril 2013

4 bouquins

Voici 4 livres sur le sujet. Je ne les ai pas lu, mais ma préférence va au livre du Pr. Tournaire. Je l'ai vu à la TV et ses propos étaient très intéressants et non alarmistes !
Je passe un peu moins de temps sur mon blog en ce moment, les soirées sont plus occupées parce que je n'ai pas pu faire plus tôt car Bébé dort moins en journée. Oups...


Enceinte à 40 ans : Oui mais... de Benattar Marie-Claude
« Si en France l'âge moyen d'une première grossesse est de 32 ans, de plus en plus de femmes ont envie d'un bébé après 35 ans (que ce soit un petit dernier ou le bébé d'une nouvelle histoire d'amour). Cette grossesse est un bonheur, une chance. Tout en m'appuyant sur l'expérience tirée de mes consultations, je me propose dans cet ouvrage de répondre aux questions que mes patientes se et me posent : Quelles sont les spécificités d'une grossesse après 35 ans ? Quelle est l'importance de l'hygiène de vie et du tabac chez l'homme et la femme dans la fertilité ? Quelles sont les méthodes de PMA (procréation médicalement assistée) avec leurs atouts et leurs limites ? Comment dépister des anomalies chromosomiques foetales qui augmentent à partir de cet âge ? Comment organiser la surveillance d'une grossesse et sa gestion jusqu'à la naissance ? Ce guide documenté vous aidera à cerner les aspects médicaux, humains et psychologiques d'une procréation après 35 ans et surtout à vivre votre grossesse en toute sérénité »

Ma grossesse après 35 ans de Stéfanie Schmid-Altringer
« Les femmes qui s'apprêtent à vivre ce que les médecins appellent une " grossesse tardive " ont souvent davantage d'inquiétudes que les femmes plus jeunes. En effet, elles se posent un certain nombre de questions légitimes : faut-il faire un diagnostic prénatal ou non ? Quels sont les soins et les précautions à prendre durant cette grossesse ? Doivent-elles faire plus attention que les femmes plus jeunes ? Cet ouvrage y répond de façon claire directe, en faisant le point sur les différents examens médicaux et leurs implications et en donnant des conseils pour bien vivre sa grossesse mois par mois. Il donne ainsi les clefs pour répondre angoisses des futures mamans de plus de 35 ans en leur montrant qu'une grossesse heureuse et un bébé en pleine forme ne sont pas une question d'âge. De plus en plus de femmes vivent sereinement une grossesse après 35 ans, et ce guide a été conçu pour vous accompagner dans cette expérience. Il vous fournira par ailleurs, nombreuses astuces pour prendre soin de vous et de votre bébé en chouchoutant votre corps et votre esprit. »

Les grossesses tardives de René Frydman
« Un soutien et des réponses rassurantes pour toutes les futures mamans ! Un format condensé et pratique pour être transporté et consulté facilement. Des conseils précis et avisés pour une grossesse épanouie. L'essentiel à savoir sur les grossesses tardives : particularités, suivi médical, examens, accouchement, allaitement... Une consultation privilégiée avec l'un des plus grands spécialistes de la maternité. »

Le bonheur d'être mère - La grossesse après 35 ans de Michel Tournaire.
« Aujourd'hui, les femmes sont de plus en plus nombreuses à travailler et à décider de faire un enfant plus tard. Les grossesses après 35 ans sont-elles particulières ? Comment mettre toutes les chances de son côté pour vivre une grossesse réussie ? Comment éviter les risques ? Les progrès de la médecine permettent désormais à ces grossesses de se dérouler presque comme toutes les autres, à condition d'être bien suivie. Le professeur Michel Tournaire vous guide pas à pas, depuis votre désir de maternité jusqu'à la naissance, et vous conseille au quotidien pour une grossesse épanouie »
Une interview du Professeur Tournaire sur son livre ici (site Gyneweb.fr).

mardi 16 avril 2013

PEOPLE 11

Grier et sa maman (encore un drôle de prénom !)
Brooke Shields, on la connait encore un peu, même si ça fait bien longtemps qu'on ne l'a pas vue sur les écrans. Elle fait du théâtre, c'est la raison. Je me rappelle l'avoir vu la dernière fois à la télévision lors des funérailles de Mickael Jackson, ça fait déjà 4 ans !
Elle est née en 1965 et a eu deux filles avec son mari scénariste de télévision (Christopher Henchy) : Rowan en 2003 et Grier en 2006 (Brooke a alors 41 ans). Mais cela ne s'est pas si bien passé que ça pour son 1er bébé : Maman a fait une grosse dépression post-partum, comme ça arrive parfois. Elle en a d'ailleurs écrit un livre : "Quand il n'y a plus de larmes" où elle décrit son long parcours pour lutter contrer son infertilité et sa dépression. 
Et heureusement pour elle et sa famille, tout va bien depuis puisqu'ils ont remis ça !!

lundi 15 avril 2013

Prénoms zarbis


Dieu est pitié de ceux qui ont voté la loi 93-22 du 8 janvier 1993 !! : "le choix du prénom est libre du moment que le prénom ne porte pas préjudice à l'enfant". J'aimerai bien savoir sur quels critères l'employé(e) de mairie peut refuser d'enregistrer le prénom vu les prénoms zarbis, je dirai même plus , pourris qu'on entend...
J'avais rencontré en décembre un couple qui avait deux petits garçons. Le père était fana de vieilles voitures et oui, ils ont osé ! Leurs enfants portaient le nom de moteur américain... Je me rappelle que du prénom de leur dernier : Hudson, du nom d'une voiture américaine construite dans les années 50. Heureusement que le papa n'était pas fan de voitures françaises : Peugeot pour un petit garçon, c'est sympa non ?!
Connaissez-vous le prénom du 4ème enfant de notre ministre (vert) du logement : Térébentine, sans le H du dissolvant mais m... il faut oser !! Nos people ne sont pas en manque, j'ai en tête le prénom de la fille de l'humouriste (ha bon ?) Mickael Youn : Seven ! Et pourquoi pas Six ?
Demi Moore et Bruce Willis n'ont pas fait mieux en appelant leurs filles Rumer Glenn, Scout LaRue et Tallulah Belle. Selon la légende, ces prénoms viendraient des danseuses de cabaret dans la BD Lucky Luke (je n'ai plus mes BD pour vérifier mais je vais aller à la médiathèque pour le faire !)
Pauvres petits, mais pensez à eux, bon sang !!  Quand je vois ou j'entends des prénoms de maintenant, je me demande si j'aurai eu le courage d'appeler mon chien comme ça ! (j'ai pas de chien, mais bon, on se comprend). Est-ce que je suis aussi vieux jeu que ça ? A cause de mon âge ??

dimanche 14 avril 2013

Un zizi angoissant

Bébé voit une pédiatre, sa main est plus douce !
Vendredi matin, il y a deux jours donc, je suis allée avec Bébé chez le pédiatre car la veille j'ai découvert une chose très angoissante : le zizi de Bébé s'est presque refermé !! Il y a un tout petit trou. Horreur, malheur, mais que s'est-il donc passé ? 
Tout allait bien avant, mais je n'avais pas examiné le petit oiseau depuis un certain temps. En fait, lors de la dernière visite chez la pédiatre, il y a un mois, elle avait un peu trop appuyer dessus. De retour à la maison, le bout de son zizi était tout rouge, il y a eu quelques gouttes de sang. Je n'étais pas contente car j'ai eu peur que Bébé ait mal en faisant pipi. Mais non, ça ne lui faisait rien manifestement. J'ai mis régulièrement du biseptine dessus pour que ça ne s'infecte pas et 4 jours après tout était revenu dans l'ordre. Mais je n'ai plus du tout toucher toujours par peur de lui faire mal. 
La pédiatre m'a dit qu'elle avait du créé des adhérences ce qui expliquerait le zizi presque fermé. Bon, pour l'instant on attend de voir, vu que ça ne le gène pas. Il faut que je recommence d'appuyer tout doucement dessus de temps en temps. Et dans 1 mois on avisera auprès d'un urologue s'il n'y a pas d'amélioration.
Au sujet du décalotage, sachez que, comme souvent pour le bébé, cela ne se recommande plus après avoir pendant des années insisté pour que cela soit fait. Il faut juste appuyer légèrement dessus pour assouplir la peau après le bain 2 ou 3 fois par semaine.
Hou là là, c'est compliqué les garçons !!

samedi 6 avril 2013

Eau de source pas si pure !!

Encore un souci de santé pour Bébé !!
En parents avisés et soucieux de la santé de Bébé, nous avons décidé d'utiliser de l'eau en bouteille pour faire les biberons. Evidément en évitant les mauvais numéros écrits au cul de la bouteille (pour ceux qui ne savent pas : le 3 contient du PVC, 6 du polystyrène et 7 du bisphénol A entre autres). Sachant aussi qu'on trouve des traces de pas mal de molécules dans l'eau du robinet (qui n'est pas si bien filtrée qu'on pense puisqu'on y trouve par exemple des oestrogènes des pilules qui vient du pipi de ces dames. Beurk !)
Oui mais voilà : on vient d'apprendre par une enquête de 60 millions de consommateurs que même l'eau de source des bouteilles n'est pas si nette. Vous connaissez l'eau minérale Mont Roucous qui veut du bien à votre bébé (voir la pub ici) ? Hé bien on y trouve du Tamoxifène ! (hormone de synthèse utilisée dans le traitement du cancer du sein). D'accord ce ne sont que des traces, mais on aimerait s'en passer !! Passez-vous donc de cette eau ainsi que de Volvic (source Clairvic) et même la fameuse Hépar contre la constipation contient du Blufomédil (médicament). Et l'eau de mon puit ? elle ne serait pas plus pure ???

mercredi 3 avril 2013

Un article à lire

Un article tiré du journal La Croix d'aujourd'hui, écrit par Paola Pinto Gomes :


«Un enfant si je veux et quand je veux !» Jamais le slogan féministe des années 1970 n’a semblé autant d’actualité. Amorcé il y a une vingtaine d’années, le phénomène des grossesses dites tardives prend de l’ampleur. S’il existe encore des mères de familles nombreuses qui accueillent un petit tardillon, de plus en plus de femmes, notamment dans les classes moyennes supérieures, retardent volontairement l’arrivée du premier enfant.
Un choix délibéré, en apparence seulement. Car cette décision, même réfléchie et assumée, n’en découle pas moins d’une pression sociale très forte, analyse Myriam Szejer, pédopsychiatre et psychanalyste, fondatrice de l’association La Cause des bébés : «Aujourd’hui, la société pousse les femmes à retarder de plus en plus le moment de la maternité. Il est politiquement correct d’attendre d’avoir ses diplômes, d’avoir assuré sa carrière, d’acquérir son logement, etc., avant d’envisager d’être parent.»
L’âge moyen de la première grossesse n’a cessé de reculer ces dernières décennies, en raison aussi de l’augmentation de l’espérance de vie, aujourd’hui de 84 ans pour les femmes. Autant dire qu’à 40 ans, celles-ci se sentent encore jeunes et en pleine forme. Après avoir profité d’une vie sans enfants et mené leur carrière professionnelle, certaines se disent enfin prêtes à devenir mères et à s’engager dans un «projet» parental. «Depuis l’avènement de la contraception, l’enfant est de fait envisagé comme un “projet” par le couple, explique Marc Bessin, auteur d’une étude sur la parentalité tardive. Ce qui contribue à retarder la maternité puisqu’il faut harmoniser et synchroniser les deux calendriers.»
Or, le bon moment pour l’un ne l’est pas toujours pour l’autre. «Le désir d’enfant chez les hommes est souvent décalé de quatre à cinq ans par rapport à celui des femmes», constate le professeur François Olivennes, gynécologue-obstétricien, spécialiste de l’infertilité. Au-delà de leur épanouissement personnel, devenu une exigence de notre société individualiste, les femmes doivent donc attendre que l’homme de leur vie accepte d’avoir un enfant. Ce qui peut reporter la décision jusqu’au moment où l’horloge biologique de la femme sonne les 40 ans.

Une deuxième union «remet souvent en jeu le désir d'enfant»
Il y a celles qui attendent. Et celles qui, après une séparation, se remettent en couple, avec à nouveau un désir d’enfant : en 2008, 25% des naissances chez les mères de 40 à 44 ans étaient issues d’une nouvelle union, contre 10% vingt ans plus tôt (1). Une deuxième union «remet souvent en jeu ce désir avec une vigueur toute juvénile», confirme Myriam Szejer. Un bébé semble donner du sens à sa vie, à l’heure où pointe la crise de la quarantaine. Devenir mère à l’âge où d’autres sont déjà grands-mères permet aussi aux femmes de ne pas «trop souffrir de la perte de leur fertilité puisqu’elles l’ont utilisée jusqu’au bout», ajoute la psychanalyste.
Un enfant après 40 ans, c’est parfois aussi le fruit d’un parcours du combattant pour les couples confrontés à l’infertilité. Mais si les progrès de la médecine donnent de l’espoir aux uns, ils donnent également des illusions à ceux qui comptent trop vite sur le coup de pouce de la science pour concrétiser leurs rêves. Les médecins, en effet, ne peuvent pas tout. À partir de 35-36 ans, la courbe de la fertilité féminine chute inexorablement, rappelle le professeur François Olivenne, alors que les femmes ont l’impression d’être encore jeunes.
Trompeuses aussi sont les images des célébrités qui exposent leur ventre rond à la une des magazines, laissant penser que la maternité reste une aventure possible à tout âge. Pour Marie-Claude Benattar, gynécologue, spécialiste de l’infertilité, ces femmes entretiennent des illusions. «Elles ne disent pas qu’elles sont enceintes grâce à un don d’ovocytes, ce qui signifie que l’enfant n’est pas génétiquement le leur. À partir de 41-42 ans, les chances de se retrouver enceinte spontanément sont divisées par quatre. Et la procréation médicalement assistée (PMA) a, elle aussi, ses limites : après 43 ans, le taux de réussite tombe à 1 ou 2%.»

Mieux informer les femmes sur le déclin de la fertilité avec l’âge
En France, d’ailleurs, la PMA – dons d’ovocytes ou fécondation in vitro – n’est plus prise en charge par la Sécurité sociale après le 43eanniversaire, et il existe un consensus professionnel des médecins pour ne plus en pratiquer au-delà de cet âge. Marie-Claude Benattar met donc en garde celles qui veulent attendre et rappelle la nécessité de mieux les informer sur le déclin de la fertilité avec l’âge. «Aussi étonnant que cela puisse paraître, beaucoup ne le savent pas ou font semblant de ne pas le savoir.»
Ces maternités tardives ne sont enfin pas sans risques pour la mère et l’enfant. «Entre 40 et 44 ans, environ 80% des femmes peuvent espérer une grossesse normale et une issue favorable, explique Joëlle Belaisch-Allart, chef du service de gynécologie obstétrique et médecine de la reproduction à l’hôpital de Sèvres. Ce qui veut tout de même dire que 20% présenteront un risque. Soit de fausse couche et d’anomalie chromosomique en raison de l’âge de l’ovocyte. Soit des complications liées au corps vieillissant de la femme, avec une augmentation de l’hypertension, du diabète et de la prématurité.»
Au-delà des risques médicaux et de celui de ne plus pouvoir enfanter, les maternités tardives posent en outre des questions sur le décalage des générations. Avoir des parents âgés n’est pas anodin pour un enfant. «Cela peut provoquer chez lui une anxiété, liée à la peur de les perdre, et augmenter, ensuite, les difficultés de communication au moment de l’adolescence», souligne Myriam Szejer. Une situation également difficile pour les parents dont beaucoup confessent une grande fatigue. Mais avoir un enfant sur le tard permet aussi, parfois, d’aborder l’éducation des enfants avec davantage d’expérience et de sérénité.


lundi 1 avril 2013

PEOPLE 10

Enceinte de son 3ème et encore une fois en couverture
Estelle Lefébure, encore un mannequin qui a eu son dernier la quarantaine passée. Elle a d'abord eu 2 filles en 1995 et 1997 avec David, le fils du fameux  "allumeeeeez le feu !". 
Elle a vécu quelques années ensuite avec l'animateur Arthur. 
Après son deuxième divorce, elle vit aujourd'hui avec un restaurateur (Adieu le monde des paillettes !) dont elle a eu un p'tit gars, Giuliano, à l'âge de 44 ans en novembre 2010. 
J'ai vu une couverture d'un fameux magazine people où elle a l'air vraiment fatiguée sans maquillage ici. C'est un peu ma tête quand je sors du lit..